ARRIVEE A L'ECOLE DE MOUDDO

 Déjà, à l'horizon, le mont Moussa Ali: plus que quelques centaines de mètres avant de découvrir l'école

La plaine d'Andabba et le Moussa Ali, point culminant du pays (2021m)

Un des nombreux campements établis aux alentours de l'école. Nous avons offert du pain et des bonbons aux enfants: des cadeaux inestimables!

Il n'a pas plu depuis deux ans dans la plaine d'Andabba écrasée de chaleur et couverte de poussière

Deux kilomètres avant d'arriver à l'école, première rencontre avec le directeur et quelques enfants

Le ballon de foot ramené de France a été très apprécié

A l'écart de l'école, l'ancienne citerne est toujours là: elle avait été construite pour stocker l'eau qui devait arriver jusqu'ici depuis le forage d'Andabba, mais elle n'a malheureusement jamais servi. Une nouvelle citerne (seconde photo) a été bâtie et un nouveau forage, plus proche, est en place avec ses canalisations: l'eau arrive enfin à l'école depuis quelques mois. Un robinet à Mouddo: un rêve inespéré!

A l'écart de l'école, quelques daboïtas, dont celle du gardien-cuisinier. J'ai retrouvé le père de ce dernier, qui assurait la même fonction en 1976. C'est maintenant un homme âgé et malade, qui perd un peu la mémoire... Au début de notre entretien, il n'arrivait pas à se souvenir de moi. Je lui ai parlé du "Français qui était venu à moto et qui avait planté du gazon devant sa maison": des larmes sont apparues sur son visage et il s'est rappelé de mon passage. Aussi émus l'un que l'autre, nous avons parlé longuement. Il m'a demandé de revenir enseigner à Mouddo, m'assurant qu'il me trouverait au plus vite "une seconde épouse jeune et jolie". J'hésite encore...

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